Piscines d’eau de mer : un patrimoine en voie de disparition ?

Vétusté, coûts de rénovation, arbitrages politiques… Les piscines d’eau de mer ferment les unes après les autres en France selon cet article de L’Equipe. Pourtant, elles sont à la croisée d’enjeux sociaux, écologiques et de sécurité publique.

La fermeture des Bains de Dieppe fin 2024 marque un nouveau recul pour les piscines d’eau de mer en France. À Dinard, la mobilisation citoyenne tente de sauver un établissement emblématique menacé par un projet en eau douce jugé contraire à l’identité locale. Ces fermetures s’expliquent par le vieillissement des infrastructures, des coûts d’entretien élevés et l’absence de politique nationale en faveur des équipements nautiques. Pourtant, certaines villes comme Biarritz ou Deauville maintiennent leur choix de l’eau de mer, valorisant ses vertus écologiques, économiques et symboliques. Ces piscines permettent aussi de pallier le déficit d’apprentissage de la natation, dans un pays où 1 Français sur 6 ne sait pas nager. Un enjeu de santé publique, selon plusieurs élus, qui appellent à une véritable stratégie nationale.

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