Empreinte carbone des Jeux Olympiques : Beijing 2008 affichait un impact plus faible que les prévisions de #Paris2024

Très intéressant ce rapport intermédiaire publié par The Shift Project « Décarbonons les stades » dans lequel figure tout un paragraphe sur l’empreinte carbone des JO et des GESI.

Ainsi selon le think tank présidé par Jean-Marc Jancovici ce sont les JO de Beijing en 2008 qui ont eu la plus faible empreinte carbone.

Pour les JOP #Paris, 2024, l’estimation prévisionnelle actuelle est de 1.58M teqCO2, l’équivalent des émissions moyennes annuelles d’environ 160 000 habitants, soit la totalité des habitants d’une ville comme Toulon pour l’ensemble de la manifestation. Cette ambition a conduit à utiliser 95% d’infrastructures existantes, leur construction représentant un poste majeur d’émissions GES pour les éditions précédentes. Il est à noter que la méthodologie du CIO sur-évalue l’impact des infrastructures car elle n’intègre pas la notion d’amortissement. » selon le rapport page 45

Pour les GESI, hors coupe du monde au qatar dont la FIFA avait annoncé un événement émetteur de 3,6 millions t de CO2 dans l’atmosphère : un chiffre sous-estimé et critiqué par de nombreuses ONG, c’est également une coupe du monde, celle organisée en Afrique du sud qui affiche la plus forte empreinte carbone.

En savoir plus en lisant le rapport de The Shift Project

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