La tension monte au CNOSF à moins de 24 heures de l’assemblée générale qui se tiendra demain matin.
Selon nos informations, l’ordre du jour de l’assemblée générale pourrait être chamboulé en raison de la crise qui dure maintenant depuis plusieurs mois.
En effet, la présidente est de plus en plus sous pression, elle aurait été lâchée par ses soutiens. 2 administrateurs nous ont indiqué que les membres du CIO auraient fait passer le message suivant « ça suffit, ça ne peut plus durer » ce qui accrédite de plus en plus l’hypothèse David Lappartient comme l’indiquait l’équipe dans son dernier article. Néanmoins, elle refuserait de démissionner. En l’absence de sa démission, l’hypothèse proposée par Stéphane Hatot d’une solution en interne ne pourrait pas se concrétise. On irait donc vers un vote de confiance sur la personne de la présidente
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Une fin de crise en donnant la parole à l’assemblée générale semble donc se profiler avec ce vote de confiance. Et c’est bien pour la démocratie.
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Dans l’hypothèse d’un vote favorable, Brigitte Henriques resterait présidente, avec quels soutiens ?
Dans le cas contraire, le CA pourrait être maintenu avec l’élection en son sein d’un de ses membres en l’occurrence David Lappartient , qui assurerait l’interim jusqu’à la fin de ce mandat.
Petit problème le vote de confiance n’est pas prévu par les statuts … le seul vote est le vote de défiance (art 7) qui permet de faire fin au mandat du CA par un vote de défiance à la majorité des deux tiers des suffrages, mais l’assemblée générale est souveraine ….