Le sport français fait feu de tout bois … en pleine canicule

Hier 19 juillet est une date à retenir … et pas uniquement en raison de l’étape du tour de France ou de la canicule. Non, on ne sait plus où donner de la tête. C’est quoi le sens de tout ça ? Pour quelle vision à moyen et long termes ?

D’un côté le canard enchainé qui se fait des gorges chaudes de la descente du PNF au COJO et à la Solidéo, de l’autre le gouvernement réuni autour du PR mobilisé à 360° pour réussir les jeux de Paris2024. Derrière, toujours le canard qui se prend le bec avec David Lappartient le président du CNOSF, et devant le même David Lappartient qui a annoncé son « souhait de proposer au mouvement sportif et à l’Etat de porter une candidature commune au Comité International Olympique (CIO) pour accueillir les épreuves des Jeux Olympiques et Paralympiques d’hiver de 2030. Et au-dessus de la mêlée, le même jour le président de la cour des comptes, suite à une présentation mardi devant des députés du rapport sur les JOP #Paris2024 qui indique dans le Parisien que c’est le contribuable assurément qui paiera la note finale des Jeux, si elle est plus salée que prévu tout en indiquant qu’il faut maîtriser le budget et connaître le coût total des Jeux, ainsi que le montant des recettes finalement engrangées. En dessous au frais pour préparer les athlètes dans les meilleures conditions, nos DTN s’écharpent avec le manager de la haute performance C Onesta.

Ce 19 juillet on retiendra que le sport Français était en surchauffe, (avec l’aide de la presse bien sur). Mesdames, Messieurs les décideurs du sport, pourriez-vous penser aux spectateurs que nous sommes ? Comment peut-on imaginer avec un tel spectacle faire nation par le sport ?

D’un coté le canard enchainé qui se fait des gorges chaudes de la descente du PNR au COJO et à la Solidéo

De l’autre le gouvernement réuni autour du PR mobilisé à 360° pour réussir les jeux de Paris2024.

Toujours le canard qui se prend le bec avec David Lappartient le président du CNOSF

Et au-dessus de la mêlée, le président de la cour des comptes qui alerte dans le Parisien repris par l’AFP sur la situation financière des JO « c’est le contribuable qui paiera si la note est plus salée » tout en reconnaissance son incapacité à estimer les dégâts !

En dessous au frais pour préparer les athlètes dans les meilleures conditions, nos DTN s’écharpent avec le manager de la haute performance C Onesta

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