Selon Sandrine Lefèvre dans le Parisien, l’Etat n’a pas décidé du devenir du stade de France en 2025 et se laisse le temps de la réflexion en attendant des propositions et de pouvoir arbitrer entre concession et vente.
« Dans les semaines à venir, deux appels d’offres vont être lancés, l’un visant une cession, l’autre une concession. Selon les propositions qui lui seront faites, l’État se décidera. Soit une offre de concession très équilibrée, où l’État sera intéressé aux bénéfices et ne sera plus garant en cas d’absence d’un club résident ou d’un nombre insuffisant de matchs des équipes de France de football et de rugby. Soit une offre de cession, permettant à un acteur privé d’exploiter et de rénover le stade. Car l’édifice, pensé il y a trente ans, a besoin d’un sérieux lifting, estimé entre 200 et 300 millions d’euros, afin de le moderniser. »