Trail : les athlètes de haut niveau inspirateurs de nouvelles modalités de pratiques plus écoresponsables ?

Dans un contexte international marqué par des préoccupations de sobriété et de durabilité, l’organisation d’événements sportifs de grande échelle pose question. La soutenabilité des Jeux olympiques (JO) n’échappe pas à la règle : leur impact sur l’environnement a déjà fait l’objet d’une évaluation détaillée de 1990 à 2021. Guillaume Dietsch Enseignant en STAPS, Agrégé d’EPS, UFR SESS-STAPS, Université Paris-Est Créteil, Université Paris-Est Créteil Val de Marne (UPEC) Brice Favier-Ambrosini Professor, Educational sciences, Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) Matthieu Quidu Maître de conférences en sociologie du sport, Université Claude Bernard Lyon 1 portent leur analyse sur les sports de plein air, notamment les courses en montagne de types trails ou ultra-trails.

« Pratiqués par des athlètes passionnés de nature désireux d’entrer en contact avec elle voire de la préserver, ces sports s’avèrent extrêmement impactants sur l’environnement. Certains chercheurs évoquent ainsi une « dissonance culturelle » chez les surfeurs professionnels. » « Les activités de nature apparaissent ainsi, de manière un peu paradoxale, parmi les disciplines sportives les plus polluantes. » constatent ils et de s’interroger pour savoir si les athlètes de haut niveau pourraient être des inspirateurs de nouvelles modalités de pratiques plus écoresponsables ?

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Patrick Bayeux

Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.

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