« On me pose souvent la question : à quoi sert le CNOSF ? », s’est interrogée tout haut Brigitte Henriques
Brigitte Henriques, la présidente du CNOSF de retour aux affaires depuis mi-décembre, a présenté vendredi les grands chantiers de l’année avec en point de mire les Jeux de Paris 2024. un article de Rachel Pretti dans l’équipe
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La présidente du CNOSF a réaffirmé le rôle de l’institution « au service des fédérations, des athlètes, au plus près du terrain ». Avec Paris 2024 en point de mire. « Notre responsabilité est d’offrir aux athlètes les meilleures conditions », a insisté Brigitte Henriques.
Pas de climatisation dans les chambres pendant les JO. Brigitte Henriques a rappelé que « tout est anticipé » et que le CNOSF « ne laissera pas les athlètes dans des conditions » de fortes chaleurs voire de canicule.
Sur les affaires, la présidente a souligné que « le CNOSF est une tête de réseau qui n’a pas de pouvoir disciplinaire et judiciaire. On a travaillé sur la charte éthique et le comité d’éthique a fait des propositions aux fédérations mais il n’a pas de pouvoir disciplinaire ». « La justice fait son travail »