Naming de stade : entre droit moral de l’architecte et marchandisation des noms - Éric Landot

« Mal nommer un objet, c’est ajouter au malheur de ce monde », disait Camus — et mal nommer un stade peut-il ajouter au bonheur des finances… ou au malheur de son architecte ? Dans une courte vidéo et un dessin qui ouvrent le débat, Éric Landot avocat nous explique comment un tribunal s’est penché sur le droit moral et patrimonial de l’architecte d’une enceinte renommée pour une marque. Faut‑il indemniser l’auteur lorsqu’une œuvre architecturale est rebaptisée pour Capri‑Sun ? Découvrez comment le juge a fixé le cadre et tranché la question.

En savoir plus sur Blog landot – vidéo, image, texte et lien vers la décision Tribunal judiciaire de Toulon, 4 septembre 2025, 24/01921

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Patrick Bayeux

Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.

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