C’est à lire cet article de insidethegames selon lequel, la réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis en 2024 s’annonce déjà comme un facteur de bouleversement majeur pour le sport international. Sa politique « America First » pourrait particulièrement affecter les relations avec les grandes institutions sportives mondiales. La FIFA, sous la direction de Giovanni Infantino, semble bien positionnée pour maintenir des liens constructifs avec l’administration Trump, comme en témoignent leurs interactions passées positives.
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En revanche, les relations avec le Comité International Olympique (CIO) s’annoncent plus complexes, notamment dans la perspective des Jeux Olympiques de Los Angeles 2028. Les positions controversées de Trump sur le sport féminin et les questions de genre pourraient créer des tensions supplémentaires, particulièrement dans le contexte de la candidature américano-mexicaine pour la Coupe du monde féminine 2031.
Le prochain président du CIO, qui succédera à Thomas Bach en 2025, devra faire preuve d’habileté diplomatique pour gérer cette relation délicate avec l’administration Trump. « L’actuel président du CIO, Thomas Bach, s’est abstenu de féliciter publiquement Trump pour sa réélection, ce qui contraste avec le soutien manifesté dès le début par le président de la FIFA, Infantino » indique l’article