Impact des crises sur l’organisation des grands événements sportifs internationaux

La « Sports Management School », école de commerce multi-campus spécialisée dans le sport Business, a intégré depuis son lancement une structuration académique liant la théorie et la pratique.
Durant toute leur scolarité, les étudiants réalisent de nombreux cas réels en lien avec des partenaires, des marques ou l’actualité. Entre janvier et mars 2021, la crise sanitaire qui a secoué le monde autour du coronavirus a totalisé en France plus de 47 millions de recherches sur Google.
Face à cette pandémie, les étudiants de la Sports Management School ont travaillé à l’élaboration et à l’organisation d’une étude de marché. Réalisée en avril 2020, son objectif principal étant de définir le mot crise et d’en identifier les items les plus impactants.

L’étude interroge les GESI sur la capacité de leur organisation à trouver une forme d’agilité
pour faire face à tout type de crise. Certes, avant l’agenda 2020+5, le CIO tente bien d’intégrer une forme d’anticipation de certaines des crises étudiées mais il y a bien des paramètres extrêmement difficiles à imaginer d’autant plus que les délais entre les candidatures, les attributions et l’organisation de ces GESI a tendance à s’allonger. Los Angeles tout comme Brisbane disposent de 11 ans pour préparer les prochains jeux d’été.
Que ce soit en termes environnemental, sécuritaire, commercial ou médiatique, tant d’événements peuvent survenir dans la prochaine décennie que les organisations de GESI sont « condamnées » à développer différents scenarii de crise auxquelles il leur faudra trouver des réponses.

Les GESI : une conception large

Les multiples sources des crises

L’étude analyse les différents facteurs de crise.

JF Lamour : le phénomène de crise est aujourd’hui consubstantiel aux Grands Événements Sportifs Internationaux

Pour JF Lamour auteur de la préface  » le phénomène de crise est aujourd’hui consubstantiel aux Grands Événements Sportifs Internationaux, et les enjeux qui en découlent sont définitivement protéiformes et aléatoires. Le sport est désormais sorti du strict cadre sportif, tant il est vrai que l’environnement des stades est peut-être le dernier endroit où l’on peut brandir un étendard aux couleurs d’un pays sans être immédiatement suspecté de nationalisme » .

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