Et si le sport français essayait de se définir une nouvelle carte des pensables ? François Bellanger
Pour François Bellanger, « le sport français se porte bien, très bien même » au niveau des pratiquants, avec des millions de Français actifs au quotidien. En revanche, Ceux qui se portent mal, ce sont les institutionnels du sport français: les fédérations notamment. Elles se plaignent des réductions budgétaires, mais n’ont pas su anticiper l’après-Paris 2024 ni réfléchir à leur rôle futur dans la société et face aux défis climatiques. Leur obsession pour les JO a empêché une réflexion de fond sur un nouveau récit du sport. « Et si le sport français essayait de se définir une nouvelle carte des pensables ? » s’interroge François Bellanger.
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