Et si c’était ça l’héritage de #Paris2024 : des nouveaux modèles économiques pour les grands centres d’entraînement de haute performance. Patrick Roult
Et si c’était l’#Héritage le plus significatif et le plus intéressant de la période que nous vivons actuellement, marquée par, les #Jeux #Olympiques et #Paralympiques de #Paris2024 ?
Ces #Jeux #Olympiques et #Paralympiques sont une #crise, une crise limitée, circonscrite, mais une crise tout de même dans l’histoire du #sport français mais aussi dans l’histoire de France.
L’intérêt des crises c’est d’une part, qu’on ne sait qu’a posteriori si elles auront un effet positif ou un effet négatif sur les sociétés qui les vivent, nous pouvons donc influer sur ces effets ,et d’autre part c’est qu’elles viennent éprouver nos structures et nos organisations en posant des questions inédites ou en faisant émerger des questions que jusqu’alors on évitait de poser.
La question des modèles économiques du sport de haut niveau, de ses structures, centres d’entraînement, organisations en est une autre et des plus intéressantes ! En France on a, par exemple, récemment choisi d’engager un partenariat public-privé pour rénover l’INSEP – Institut National du Sport, de l’Expertise et de la Performance et remettre cet institut à niveau pour rester dans la course internationale.
Les exigences qui émergent en situation de crise, comme à l’approche des #JOP par exemple, montrent les limites de ce type de modèle. On ne pourra pas faire l’économie de #penser de nouveaux modèles économiques pour les grands centres d’entraînement de haute performance, à défaut c’est l’existence même de ces centres qui sera remise en cause…
A lire sur linkedin
Tous les billets de Patrick Roult
La rubrique » « Et si c’était ça l’héritage de #Paris2024 »