Cyclisme : et si on entraînait, aussi, le cerveau des coureurs ? Sidney Grosprêtre

Selon Sidney Grosprêtre Maître de conférences en neurophysiologie, Université de Franche-Comté – UBFC l’optimisation des performances sportives est souvent, à tort, attribuée uniquement à l’amélioration de nos capacités musculaires, elle dépend tout autant d’un autre élément qui compose notre corps : le système nerveux central, composé du cerveau et de la moelle épinière.

Après des décennies à avoir focalisé notre attention sur le muscle du sportif, il se pourrait à présent que l’avenir de l’entraînement sportif soit également dans l’optimisation d’un autre organe non moins important : le cerveau. Cela n’intéresse pas que le cyclisme, mais également de nombreuses autres disciplines, parfois diamétralement opposées.

À l’heure où le tour de France bat son plein, à un an des JO 2024 à Paris, on peut se demander quel sera l’entraînement de demain et comment l’athlète sera façonné.

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Patrick Bayeux

Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.

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