« A l’origine, sa motivation pour restaurer les Jeux Olympiques modernes était ancrée dans l’espoir que cet événement puisse couronner de gloire son pays natal ».
A lire cet article de George Hirthler publié sur le site du CIO pour découvrir l’attachement de P de Coubertin à la France et à Paris. « S’il aimait le Mouvement olympique, qu’il avait lancé à la Sorbonne 30 ans plus tôt, Coubertin vouait un amour encore plus grand à la France. » écrit l’auteur.
Les Jeux de la VIIIe Olympiade ont incarné la vision de Pierre de Coubertin pour le plus grand spectacle sportif du monde, dont certaines idées restent pertinentes encore aujourd’hui.
Lors de ces adieux, Coubertin a exprimé sa gratitude, tout en adressant une série de mises en garde. Il a exhorté ses collègues à protéger plusieurs principes, dont l’universalité des Jeux Olympiques. «Est-il besoin de rappeler qu’ils ne sont la propriété d’aucun pays ni d’aucune race en particulier et qu’ils ne peuvent être monopolisés par des groupements quelconques. Ils sont mondiaux; tous les peuples y doivent être admis sans discussion, de même que tous les sports y doivent être traités sur un pied d’égalité sans souci des fluctuations ou des caprices de l’opinion.»