La convention citoyenne sur les temps de l’enfant organisée sous l’égide du Conseil économique, social et environnemental prévoit encore deux sessions d’audition de responsables institutionnels, représentants d’organisations, universitaires et acteur de terrain, avant la rédaction de son rapport courant novembre.
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Alors que l’on qualifie souvent cette question d’inextricable, les enjeux éducatifs, scolaires, sociaux, économiques, touristiques étant par nature divergents, on peut s’étonner du faible nombre d’acteurs à s’être emparés de la possibilité donnée aux personnes morales (collectivités territoriales, associations, syndicats, etc.) et aux élus de faire connaître leurs propositions, actions ou retours d’expériences par la transmission d’un cahier d’acteur.
C’est pourtant un moyen s’inscrivant dans les principes de transparence et de sincérité qui s’appliquent à la démarche de Convention citoyenne.
La place du sport peu visible.
À ce jour, le site de la Convention répertorie seulement 13 contributions dont une seule d’une fédération sportive (USEP). Les autres émanent :
- d’instance administrative (Conseil d’orientation des politiques de jeunesse),
- d’association d’élus (AMRF),
- d’organisme de jeunesse et d’éducation populaire (Jeunesse au plein air, Fédération Léo Lagrange, IFAC),
- d’organisations économiques, professionnelles ou syndicales (Union sport et cycle, GN des établissements publics sociaux et médicaux sociaux, F.F de psychiatrie, Sud Education),
- d’organisme de défense et protection de l’enfance (Dynamique pour les Droits des enfants, Fondation pour l’enfance, SOS Villages d’enfants).
Rappelons que le Cese a fixé la date limite du 15 octobre pour le dépôt de contributions.
P.-P. Bureau pour Décideurs du sport
Pour en savoir plus :
Sur le site de la Convention citoyenne des temps de l’enfant