« J’espère qu’avec le temps, les gens voient la qualité du travail mené », déclare l’ex-ministre, Amélie Oudéa-Castéra
Ministre des Sports au temps des JO de Paris, aujourd’hui présidente du Comité national olympique français, Amélie Oudéa-Castéra souligne les succès remportés et les combats menés, face aux moqueries et aux polémiques dont elle a été l’objet.
Le 26 juillet 2024, la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques sur la Seine est saluée par la ministre des Sports de l’époque comme « grandiose » et porteuse d’attractivité pour la France. En septembre, AOC quitte le gouvernement et, en juin 2025, prend la présidence du CNOSF. Cet été, elle dénonce la coupe de 18 % du budget du sport, estimée dangereuse pour l’emploi des éducateurs, les clubs amateurs et les infrastructures. La nouvelle présidente du CNOSF insiste sur l’importance du sport face aux enjeux de santé mentale et de dépendance aux écrans. L’ancienne ministre revient aussi sur les moqueries liées à sa baignade dans la Seine et à son soutien à Aya Nakamura, qu’elle présente comme des gestes d’inclusion. Son début de mandat est marqué par une polémique sur son salaire et par la préparation des Jeux d’hiver 2030, avec l’objectif de défendre haut la voix du sport français.
