Investir dans le sport français : les stratégies internationales des clubs sportifs et marques

Le sport français doit désormais se penser comme un levier d’influence et un actif économique à l’international selon cet article de la BPI. Comment en s’appuyant sur ses clubs, ses marques, sa sport tech et ses entrepreneurs pour conquérir des marchés étrangers, attirer des investisseurs et s’inscrire dans une stratégie de rayonnement global mêlant économie, innovation et « diplomatie économique sportive ».

Longtemps reconnu pour sa formation et ses performances, le sport français doit désormais se structurer comme un actif économique exportable. Le PSG incarne cette ambition mondiale, mais d’autres clubs comme l’OM, l’OL ou le RC Toulon (emblème du rugby français selon la BPI) déploient eux aussi des stratégies internationales.
Les grandes marques (Decathlon, Salomon) et les start-ups innovantes (Kinvent, Vogo) misent sur l’export, la tech et des partenariats globaux.
Les investisseurs étrangers, attirés par ce potentiel, s’engagent massivement dans les clubs et les infrastructures indique l’article.
Mais des freins subsistent : gouvernance associative, fiscalité complexe, manque de compétences à l’international.
Des programmes émergent pour y répondre, renforçant une dynamique où le sport devient aussi outil de diplomatie économique.

Lien vers l’article sur le site de la BPI

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Patrick Bayeux

Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.

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