Voici comment l’art du sprint se transmet en Jamaïque

Watson a suivi les mini-coureurs, dont les plus jeunes ont 6 ans, s’appliquant à reproduire les foulées des stars de la petite île caribéenne, véritable pouponnière de médaillés olympiques.

Le souffle court, Anastasia, 11 ans, attrape une bouteille d’eau bien méritée après avoir foncé pendant 300 mètres d’une foulée aérienne, chaussures de sprint aux pieds. Sur une pelouse jaunie par le soleil assommant d’un samedi matin d’avril à Kingston, quelques dizaines de bambins s’affrontent dans des couloirs tracés à la craie lors d’une compétition comme la capitale jamaïcaine en raffole.

«La plupart de ces enfants veulent devenir professionnels, ils rêvent tous de devenir le prochain Usain Bolt ou la prochaine Shelly-Ann Fraser-Pryce», assure Shanti Blake, l’un des entraîneurs présents, représentants des établissements scolaires ou des clubs d’athlétisme.

«La piste tient une place importante dans notre histoire et notre société. L’athlétisme peut devenir une carrière, mais c’est aussi une opportunité de décrocher une bourse pour étudier à l’étranger» Joseph Heron, père de deux jeunes athlètes

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