Le rôle stratégique du département de contrôle budgétaire du Ministère du budget dans le succès des JOP #Paris2024.

La réussite des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 repose sur une gestion budgétaire rigoureuse, assurée par l’un des départements de contrôle et comptabilité ministériels (CBCM) de la direction du Budget selon le ministère du Budget.

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« Sous la direction de Pierre Souchet, chef du département de contrôle budgétaire, DCB, pour les ministères de l’éducation nationale et de la jeunesse, de l’enseignement supérieur et de la recherche, et des sports, les agents ont fait preuve de rigueur, d’anticipation et de coordination pour respecter les engagements financiers de l’État. » peut on lire.

Un pilotage assuré par le CBCM

Le programme 350, établi par la loi de finances de 2018, a financé les organes de gouvernance des Jeux : le Comité d’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques (COJOP) et la Société de livraison des ouvrages olympiques (SOLIDEO). Le département de contrôle a joué un rôle clé dans la supervision des ressources allouées à ces structures, garantissant une gestion optimale des ressources publiques.

Le COJOP, chargé de l’organisation des Jeux, disposait d’un budget de 4,4 milliards d’euros financé à 95 % par des fonds privés, avec une contribution publique spécifique pour les Jeux Paralympiques. 

La SOLIDEO est un établissement public placé sous la tutelle de l’État, qui détient la majorité des droits de vote au conseil d’administration en sa qualité de premier financeur. La SOLIDEO a en effet bénéficié de contributions publiques importantes de l’État et des collectivités territoriales, à hauteur de 2,3 milliards d’euros sur un budget total de 4,5 milliards d’euros. Cette structure avait pour mission de livrer les équipements pérennes nécessaires à l’organisation des Jeux, puis de les reconfigurer pour l’usage du grand public après 2024.

Un contrôle renforcé pour plus de transparence

Le département a également assuré un contrôle rigoureux des dépenses des principaux opérateurs impliqués, comme l’Agence nationale du sport (ANS), l’Institut national du sport, de l’expertise et de la performance (INSEP), et le Musée national du sport (MNS). 

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