« Ce que les JOP #Paris2024 peuvent nous apprendre sur la température humide » Sarah Safieddine – Cathy Clerbaux

La cérémonie d’ouverture aura-t-elle lieu comme prévu ? Combien de touristes viendront in fine dans la capitale ? Est-ce qu’il y aura une canicule ? s’interrogent Sarah Safieddine Chargée de recherche CNRS (LATMOS/IPSL), Sorbonne Université et Cathy Clerbaux Directrice de recherche au CNRS (LATMOS/IPSL), professeure invitée Université libre de Bruxelles, Sorbonne Université

Alors que la France entière se pose de multiples questions sur les prochains Jeux olympiques (JO) de Paris, en tant que physiciennes de l’atmosphère, ces JO seront pour nous l’occasion de scruter un indicateur de plus en plus utilisé pour mesurer les effets de la chaleur sur le corps humain, notamment lors d’un effort : celui de la température humide.

« Cet indice thermique permet d’évaluer un ressenti qui vous est sans doute familier : lors des pics de chaleur, quand la température dépasse 35 °C, nous avons tous fait l’expérience d’un ressenti très différent selon le taux d’humidité : à température égale, une chaleur sèche restant bien plus supportable qu’une chaleur humide ».

« Juillet est le mois le plus chaud de l’année en Île-de-France. Si la chaleur est exacerbée par un temps orageux et/ou une humidité élevée, les conditions externes seront insupportables pour les compétitions. »

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Patrick Bayeux

Consultant, Enseignant chercheur, Docteur en sciences de gestion.

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