Quelle succession pour l’Académie Digitale de #Paris2024 ?
C’est la période de noël, et c’est la période des cadeaux. Qui héritera d’un outil de formation totalement inédit dans le domaine du sport : L’Académie Digitale de #Paris2024 ? C’était la question posée lors d’une réunion tenue la semaine dernière.
De quoi s’agit-il ? d’une plateforme qui pourrait couter toutes charges confondues prés de 10 millions d’euros dont l’objectif est de « développer les compétences et la sécurisation des parcours professionnels des salariés et des bénévoles engagés dans l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024 » :
- Valoriser l’engagement personnel des bénévoles mobilisés par la validation des acquis de l’expérience ou une certification.
- Favoriser le reclassement professionnel des salariés qui auront travaillé à l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques 2024.
Les 3 missions de l’Académie.
Les 3 missions visent à organiser les JOP #Paris2024.
- assurer une formation d’excellence permettant à l’équipe d’organisation des jeux de performer,
- Enrichir le mouvement sportif et contribuer à la performance de sa filière au-delà des jeux
- Contacter durablement toutes les populations possible.
Une trentaine de formations déjà existantes ainsi que des parcours de formation
La plateforme compte déjà une trentaine de formation en ligne et notamment : Devenir sauveteur, secouriste de travail, devenir ambassadeur de la vision Paris, 2024, manipuler un extincteur, animer une équipe, découvrir le mouvement paralympique, acheter à Paris 2024, maîtriser le concept des jeux de Paris 2024, garantir la confidentialité des données de Paris 2024, participer à la cyber sécurité de Paris 2024,…
Des parcours sont également proposés avec plusieurs modules par semaine, des modèles obligatoire, des modules optionnels.
Qui va hériter de cet outil ?
C’était la question posée lors de cette réunion. Plusieurs pistes sont à l’étude. « Dans sa réflexion, Paris, 2024 considère que les parties prenantes liées à l’héritage de la plate-forme sont no seulement le mouvement sportif mais aussi le COSMOS et l’AFDAS. Par ailleurs, la caisse des dépôts ayant largement contribué au financement de l’élaboration de la plate-forme, l’association de l’État à la réflexion est également nécessaire. »
