Selon France 3 le Grand Prix automobile de France est plombé par une dette de 32 millions d’euros. Le département du Var et la Métropole de Toulon, financeurs de l’évènement, refusent de payer la note tant que lumière n’a pas été faite sur la gestion des comptes. Ils soupçonnent « des problèmes de rémunération de ressources humaines » et des irrégularités de commandes publiques. Une enquête a été ouverte par le parquet de Marseille, où se trouve le siège du GIP, sur le financement du Grand Prix du Castellet, menée par la police judiciaire de Toulon. Les auditions ont déjà débuté.
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De son coté Mars actu « le parquet de Marseille a ouvert une enquête préliminaire concernant la dette colossale laissée par le groupement d’intérêt public (GIP) en charge de l’ex-Grand Prix de France de Formule 1 accueilli au Castellet, présidé par le maire de Nice, Christian Estrosi. Selon notre partenaire Mediapart, les magistrats s’intéressent notamment à un voyage de trois jours à Abou Dhabi qui aurait couté 70 000 euros pour seulement dix invités. Dans cette short list, on retrouve le président de la région Paca, Renaud Muselier (Renaissance).
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