David Lappartient, candidat à la présidence du CNOSF pour une opération commando de 22 mois.
David Lappartient a officialisé sa candidature à la présidence du Comité national olympique et sportif français, pour succéder à Brigitte Henriques. Il a adressé tout au long de la journée des mails aux différents membres du CNOSF par vague successive.
4 défis
Dans son courrier le président de l’UCI affiche sa volonté « d’unité et de rassemblement » comme un premier défi et précise qu’il réalisera cette fonction bénévolement.
Le second défi est celui de la réussite des JOP Paris 2024
Le troisième celui de l’autonomie du mouvement sportif
Le quatrième la mise en oeuvre du projet politique qui a été approuvé. David Lappartient n’a visiblement mais l’intention de remettre en cause le projet politique. « le projet de ce mandat a été adopté en 2023. Lui ne fait pas l’objet d’une remise en cause. C’est la gouvernance du CNOSF qui l’a été. Ce projet doit continuer à être mis en oeuvre. » précise-t-il dans une longue interview à Ouest France
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« Je ne m’inscris pas forcément sur du long terme, au CNOSF »
Dans ce trés long entretien David Lappartient apporte des précisions sur sa candidature. « après avoir analysé l’ensemble des éléments, après avoir mesuré l’inquiétude du CIO, après avoir écouté et dialogué avec certains membres et présidents de fédérations, je me suis dit que j’étais prêt à être candidat pour les vingt-deux mois à venir. » « Pendant vingt-deux mois, je le prends comme une opération commando, en réalité. Je ne m’inscris pas forcément sur du long terme, au CNOSF. » « Ce qui est certain, c’est que je ne cumulerai pas la fonction de président de Conseil départemental du Morbihan et de président du CNOSF au-delà de 2025. Là, ça va être vingt-deux mois compliqués, mais je ne veux pas aller au-delà. »
Lien vers l’ITV de Ouest France
