Crise au CNOSF : « la démission de B Henriques n’est pas une surprise » Armand de Rendinger.
Les réactions se multiplient suite à la décision de Brigitte Henriques de démissionner de la présidence du CNOSF.
Sans langue de bois Armand de Rendinger, Consultant international pour l’olympisme et le sport et Auteur de « Le pari olympique de 2024, chance ou malédiction ? » (éd Vigot) parle de « l’entre-soi dans le domaine du sport » et explique que Brigitte Henriques « n’a pas dit toute la vérité aux gens qui l’ont élue et principalement aux 4 membres du CIO », dans une affaire de harcèlement qu’elle a prétendu ignorer.
« Sur ces sujets là (il s’agit des affaires de harcèlement) la présidente n’a pas dit toute la vérité aux gens qui l’ont élue et principalement aux 4 membres du CIO, Drut, Roland, Fourcade et Lappartient où elle a dit non non j’étais pas au courant alors qu’elle était parfaitement au courant. ça c’est pas du tout passé »
« La gouvernance du sport c’est plus qu’une armée mexicaine, c’est une armée de colonels et pas que de capitaines et tout ce beau monde se bouffe entre soit »
« La France qui est la ville ainée de l’olympisme se trouve sans personne à la tête du CNOSF, ça pose un sacré problème…. d’autant plus que le CNOSF est titulaire des jeux olympiques ».