L’empereur du CIO veut habiller sa grandeur en dépouillant les autres par Alan Abrahamson
Pour Alan Abrahamson le CIO fait face à une crise de confiance au sein, malgré l’image de succès des JOP #Paris2024. Tandis que les sponsors se retirent et que les audiences déclinent, les fédérations et les athlètes font face à des difficultés financières, alors que l’institution dépense massivement pour son siège et ses projets coûteux. Sous la présidence de Thomas Bach, le CIO a centralisé son pouvoir et éliminé la contestation interne, renforçant le sentiment de déconnexion avec la réalité du sport mondial. Malgré des revenus sécurisés de 13 milliards de dollars, les athlètes peinent à subvenir à leurs besoins tandis que les dirigeants perçoivent des salaires élevés. Pour restaurer la confiance, Alan Abrahamson plaide pour plus de transparence, d’humilité et une réforme du modèle économique et de gouvernance du CIO. L’élection présidentielle sera un moment décisif.
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