Du metavers au metasport : le début d’une histoire par A Loret
Dans un document de prés de 100 pages Alain Loret se livre à une analyse prospective de ce qu’il considère comme une nouvelle phase. « « Avec le métavers, le sport n’est pas dans une phase de changement mais dans un changement de phase » prédit-il.
la nouvelle phase : le MétaSport
Cette nouvelle phase ou nouvelle vague succède à 3 autres
- les sports olympiques
- les sports de glisse
- les sports numériques
- les métasports
Question : de quoi sera constituée cette quatrième vague de transformation du sport ?
Alain Loret définit le métavers « comme une nouvelle proposition « augmentée » de services numériques. Pensé comme une interface proposant une interopérabilité totale entre des usages du réel au virtuel et inversement, il constituera une rupture interactionnelle dans de nombreux secteurs de la vie quotidienne (travail, consommation, loisirs…). Pour dire les choses simplement, il démultipliera nos capacités relationnelles. »
Tout en décrivant les évolutions, l’ouvrage alerte sur les conséquences de ces évolutions « Outre les dimensions et impacts sociaux regrettables du métavers (addiction, sédentarité, artificialisation des relations, dérives fantasmatiques, constructions imaginaires du monde…), ce sont surtout ses effets environnementaux qui s’avèrent potentiellement préoccupants. Le métavers est en effet un gouffre en termes de consommation d’énergie. La question se pose donc de savoir s’il pourra devenir économiquement durable. On peut en douter »
Décrypter la chaine de valeurs du Metavers.
Pour mieux comprendre Alain Loret s’est attaché à partir d’un usage indéterminé qui conditionnera la conception puis la construction d’un univers parallèle immatériel spécifique à l’usage considéré. Ce qui sera précisément le cas du « sport métaversé » qu’il a baptisé : « métasport » « 10 briques techniques et technologiques constituent la chaine de valeurs du Métavers : des briques indissociables et incontournables.